Première Québecoise
Sélection 2021 Sur Demande

Coming Home In The Dark

Réalisé par James Ashcroft

Projection virtuelle
PRÉSENTÉ AVEC Andronicus

Crédits  

Selection officielle

Festival du film de Sundance 2021
Festival international du film de Cleveland 2021
Festival du film souterrain de Calgary 2021
Festival du film de Milwaukee 2021

Réalisateur

James Ashcroft

Scénario

Jam Ashcroft, Eli Kent

Interprètes

Daniel Gillies, Matthias Lusafutu, Miriama McDowell, Erik Thomson

contact

Dark Sky Films

Nouvelle-Zélande 2021 93 mins V.O. anglaise
Genre Thriller

“It’s my hope that audiences will be divided over the film’s characters; they’re characters that we haven’t seen in an NZ film before and they ask viewers to reflect on themselves. We need to understand our own brutality if we’re to make any notion of change to society.”
Director James Ashcroft

“Working with strong actors capable of walking the knife edge between fear and moral revulsion, sadism and barely stifled rage, Ashcroft and editor Annie Collins maximize the psychological murk hidden between the lines, doing a remarkable job of sustaining extreme tension. “
David Rooney, THE HOLLYWOOD REPORTER

"A one and a half-hour gut-punch, COMING HOME IN THE DARK is bleak, tense, and often unshakable. … it sticks with you; haunts you."
Chris Evangelista, /FILM

«Quand tu repenseras à tout ceci, tu regretteras de n’être pas intervenu dès maintenant.» Un enseignant (Eric Thomson) pique-nique avec sa famille sur un rivage isolé, mais cette petite escapade du samedi tourne au cauchemar lorsque deux sociopathes sans feu ni lieu leur tombent dessus à l’improviste. Ce qui s’ensuit – pendant 90 minutes – est une véritable tornade de violence et de tension quasi ininterrompue, quasi insoutenable, qui risque fort de vous lever le cœur jusque dans la gorge. Et puis, comme des gouttes de sueur accumulées sur une peau qui se refroidit, il devient peu à peu évident qu’un tel carnage est la conséquence directe de quelque chose d’autre, quelque chose qui s’est passé des dizaines d’années auparavant. Manifestement, quelqu’un est en train d’écrire un credo, et l’encre a ici été remplacée par le sang et les larmes.

Road movie en enfer, invasion de domicile ramenée à l’échelle d’une voiture, COMING HOME IN THE DARK est basé sur une nouvelle publiée en 1995 par l’auteur néo-zélandais Owen Marshall, qui a été décrite par David Hill comme « un des plus terrifiants récits de notre littérature ». La saga des écoles résidentielles dirigées par l’État, en Nouvelle-Zélande, est un fiasco tout ce qu’il y a de plus sordide, et le réalisateur James Ashcroft, également coscénariste, voulait communiquer ce désespoir et cette horreur à son auditoire. Grâce à une mise en scène impeccable, des personnages solidement étoffés et un réservoir de suspense inépuisable, le tour de force est parfaitement réussi. Daniel Gillies, que l’on a pu voir dans THE ORIGINALS, livre une performance à la fois inquiétante et inoubliable. Néo-noir accablant et révélateur, avec un soupçon de RABID DOGS de Mario Bava, COMING HOME IN THE DARK est une visite guidée dans les recoins les plus ténébreux de l’âme humaine, racontée avec compassion – et sans pitié. - Traduction: David Pellerin