Danemark
2021 101 mins
V.O. danoise
Sous-titres : anglais
“Another amusing absurdist Danish comedy along the same lines as male midlife crisis films KLOWN and ANOTHER ROUND”
– Meredith Taylor, FILMUFORIA
“Exhibits a gleeful relish in a man’s loss of dignity while also finding an almost childlike appeal in this endearingly clueless central character”
– Wendy Ide, SCREEN DAILY
“Hits with the force and precision of an arrow fired from Martin’s homemade bow”
– Warren Cantrell, THE PLAYLIST
En pleine crise de la quarantaine, Martin s'aventure en forêt avec seulement un arc et des peaux d'animaux. Une rencontre fortuite avec un fugitif prénommé Musa mène à une folle escapade à travers les fjords alors que la police, des trafiquants de drogue et la famille de Martin les poursuivent. Alors qu'une amitié improbable se développe et que des situations loufoques surviennent, la quête de Martin lui fait réaliser bien des choses à propos des supposés idéaux masculins, ce qui s'avère aussi malaisant qu'hilarant.
Présenté à Fantasia après son récent lancement à Tribeca, WILD MEN de Thomas Daneskov prouve que les films les plus drôles du moment proviennent du Danemark. En crise, Martin (Rasmus Bjerg) effectue un « retour à la nature » impliquant une existence primitive. Dès les premiers moments, où le protagoniste tente de négocier pour ses achats dans une station-service isolée, l'humour absurde du film se manifeste. Puis on découvre sa relation de duo dépareillé avec Musa (Zaki Youssef), un revendeur de drogue blessé et en cavale, et le récit devient de plus en plus excentrique et étonnant. On ressent également l'impact qu'a la fuite de Martin sur ses proches, alors que sa femme et ses enfants tentent de le retrouver. D'autre part, le gang de Musa veut se venger, et un shérif rôde dans les parages. Les éléments amusants se multiplient (les chiens policiers sont en congé, les fugitifs rencontrent les Vikings d'un jeu de rôle « grandeur nature », etc.), et tôt ou tard, le sang gicle. WILD MEN promet une soirée cinéma déchaînée. – Traduction: Kevin Laforest